mardi 19 mars 2013

Communiqué de presse

La grappe orchidée numérise des archives privées et publics d'avant 1960 touchant au contexte de l'or guyanais...

La première phase du projet de « Valorisation des archives de la mine » de la Grappe d’entreprises de la filière interprofessionnelle minière ORkidé de Guyane vient d’être lancée. Il s’agit de l’évaluation et du recensement des archives historiques minières de la Guyane avant 1946, en priorité auprès des organismes publics et privés, des collectionneurs privés et des entreprises minières avant 1960.
Le projet de « Valorisation des archives de la mine » est un projet historique de la Grappe ORkidé de Guyane, présenté en 2011 lors de l’appel à projets de la DATAR dont elle est lauréate.
L’objectif est l’évaluation, le recensement et la numérisation des documents d’archives historiques de la filière minière aurifère de Guyane, pour leur intégration dans MANIOC (www.manioc.org), bibliothèque numérique, gérée par l’Université Antilles-Guyane, afin de rendre accessible des documents d’archives, anciennes cartes, anciens travaux de prospection et d’exploitation, images d’époques, actions de sociétés minières, extraits de périodiques et de quotidiens, etc. qui se trouvent répertoriés, numérisés puis restitués à leurs propriétaires.
Cette démarche, à l'initiative de la profession minière, avec la collaboration de l’Université Antilles-Guyane, de la DRAC, de la DATAR, de la Région Guyane et de la CCIRG, associe dans une synergie collectionneurs privés, administrations, exploitants miniers et, d'une façon générale, l’ensemble des acteurs de ce domaine. Elle se trouve destinée à conserver et valoriser l’ensemble des éléments du passé de cette activité, encore en grande partie méconnue du public comme des historiens, afin que l'ensemble de ce patrimoine minier puisse intégrer l’histoire guyanaise.
Il s'agit d'un vaste travail dans lequel tout élément (archives personnelles, photographies, courriers, journaux, rapports, plans, etc..), même d'apparence insignifiante, se trouve bienvenu, trouve sa place et vient enrichir la mémoire collective locale. Cette démarche est également ouverte à toute personne qui souhaiterait faire partager sa documentation ou ses archives (familles, collectionneurs, anciens exploitants, etc..) afin d'éviter que sombre définitivement dans l’oubli tout un pan de l'histoire humaine et économique locale.
L'ensemble des personnes collaborant au projet seront cités dans l’intégralité des supports de communication, MANIOC, exposition et catalogues à venir.
Contact : Lydie CLERC : lydieclerc@gmail.com / 0694 43 47 47

Lien vers l'article : http://blog.manioc.org/2013/03/communique-de-presse.html

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